Invité | Sujet: Tanya + The Killing Spy Ven 30 Nov - 6:57 | |
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NOM: Belaïa, nom de famille de sa mère qu'elle utilise depuis sa "mort" alors que son nom de famille originel est celui de son père, à savoir Chikuro ▻ PRÉNOM: Originellement, mon premier prénom était Ming-Leï que j'ai toutefois décidé d'effacer en me faisant aujourd'hui appelé Tanya, qui n'était autre que le second prénom choisi par mes parents ▻ AGE: 29 ans ▻ DATE DE NAISSANCE: 17 janvier 1983 ▻ LIEU DE NAISSANCE: Moscou, en plein coeur de la mère Russie ▻ ORIGINE: S'il a vu le jour dans un endroit misérable, cela ne l'empêche pas d'avoir grandi et d'avoir pu profiter de la richesse que possédait son père. Néanmoins, comme rien ne demeure immuable, elle se veut d'avantage dans la classe moyenne depuis sa "mort". ▻ ÉTUDES: Elle est licenciée en biologie moléculaire et génétique ▻ MÉTIER: N'opérant principalement que comme tueuse à gages, il lui arrive cependant d'accepter des "petits boulots" de tout ordre contre rémunération. Et puis, l'appellation mercenaire fait moins illégale sur un CV ! ▻ PRÉFÉRENCE: Bisexuelle pour le boulot, homosexuelle pour le plaisir ▻ STATUT: Célibataire ▻ CÉLÉBRITÉ: Amber Heard ▻ CRÉDIT: Tumblr ▻ GROUPE CHOISI: TERRORISTES 1 •• Comment en es-tu arrivé là ?Et si je vous disais que je suis, partiellement, née du mauvais côté de la barrière, hum ? C’est vrai, tout le monde essaie sans arrêt de déterminer quel élément a pu vous pousser à choisir la terreur comme règle de vie et, tout ça, pour ne pas accepter que cela peut-être une décision toute simple, toute naturelle, et préenregistrée dans nos gênes. Car, oui, je peux vous certifier que les propensions à semer la crainte et l’horreur de soi est avant tout une histoire d’héritage génétique ! Mais, rassurez-vous, je vais éviter de vous ennuyer avec tout ce blabla technique. Et puis, cela risquerait de nous éloigner de votre question première me semble-t-il ?
Bref ! Si vous désirez réellement savoir ce qui m’a poussé à devenir une terroriste, je me dois avant toute chose de parler de mes parents. Ma mère, paix à son âme, répondait au nom d’Ananova Belaïa. Une jeune et charmante russe au physique de rêve dont, d’après les dires de mon défunt père, j’ai entièrement hérité de la beauté. Je ne cacherai pas que ce genre de considération est plus que flatteuse d’ailleurs ! A l’époque de leur rencontre, c’était une agent du KGB travaillant sur un épineux dossier américain. C’est de par ses connaissances relatives à la culture et la langue chinoise qu’elle fut choisie pour être l’agent de liaison avec mon père.
Kunwe Chituro : tel est le nom de l’homme à qui je dois la vie. Lors de sa venue à Moscou, il venait ouvertement en tant que représentant de la triade chinoise. Une collaboration qui, vue de l’extérieure, aurait pu sembler relativement dégradante pour l’ancienne agence du KGB. Mais, de par cette période de fin de guerre froide, tout était permis ! Et la célèbre organisation criminelle pour laquelle travaillait mon père semblait posséder des contacts et des informations on ne peut plus intéressantes pour les russes. Voilà comment, de cette simple relation professionnelle, naquit une union bien plus forte et sublimée par la naissance d’une fille. Par MA naissance.
Au début, ma mère resta au sein de son agence et continuait d’officier en tant qu’agent de terrain. Néanmoins, avec les premières années s’écoulant et les impossibilités de mon père pour venir nous voir plus régulièrement, mes parents ourdirent un plan afin de nous libérer de cette situation impossible. Ma mère orchestra sa propre mort, histoire de nous enfuir sans qu’elle ne soit traquée par d’anciens collègues, ou par d’autres agences « ennemies ». Notre destination ? La Chine bien sûr ! Les racines de mon père se trouvaient là-bas. Qui plus est, ma mère l’épousant dés leur arrivée, nous demeurions tant sous la protection des lois chinoises que sous la bienveillance de la Triade. Aucune des deux parties ne s’en prendraient à l’un des leurs et, je dois dire qu’à partir de ce jour, de russe je n’en n’avais plus que la couleur des cheveux et des yeux.
Si je me permets de vous raconter cela, c’est pour vous expliquer exactement comment j’en suis venue à être éduquée selon les traditions chinoises et, plus particulièrement, à être élevée telle une véritable fille de la Triade. Il me fallut quelques années de plus pour comprendre qu’un tel privilège ne se devait qu’à la position respectable de mon père. Et, aussi juste était-il, il ne me mentit jamais sur ses activités, ni même la nature de son « travail ». Je grandis avec l’opportunité de me forger ma propre opinion. Mais, ne soyons pas idiots, depuis la découverte de ce milieu, je m’y lançai à corps et âmes, m’y perdant jour après jour en me moquant totalement de savoir si j’en devenais une noble citoyenne ou une criminelle de la pire espèce.
De criminelle, j’en ai réellement accepté et même revendiquer l’appellation aux alentours de mes dix sept ans, tout de suite après la mort de ma mère dans un règlement de compte entre la Triade et l’une de ses forces ennemies. Ce fut d’ailleurs cet évènement qui fut le déclic pour que je n’apprenne plus seulement des connaissances de ce groupuscule mais que j’en devienne un membre pleinement actif. Des années de frissons, de bonheur et d’épanouissement. Cette voie était celle que je devais prendre, je le ressentais au fond de moi. Et, pourtant vous voyez, je ne souffre d’aucune tare psychologique ou génétique pour autant ! Comme quoi… M’enfin, vous me direz qu’être criminelle est une chose, devenir terroriste en est une autre ? Eh bien je vous répondrai par l’affirmative !
Franchir cette dernière étape, c’était vivre la chose la plus inacceptable qui soit pour un membre de la Triade : la trahison ! La trahison d’une nouvelle collaboration entre notre organisation et des espions. Une fois de plus, c’est de par son sens aigu et aisé de la diplomatie que mon père fut choisi pour être l’agent de liaison au milieu de ce nouvel accord. Et, en apparence, tout semblait se dérouler selon les règles de l’art, dans l’entente la plus cordiale et le respect le plus total. Si ce n’est qu’une fois l’opération des espions terminée, ces derniers ne s’en arrêtèrent pas là. Pour une raison que je ne cherche plus à m’expliquer et à comprendre, leurs armes se sont retournés contre mon père et ses hommes. Contre leurs alliés temporaires ! Et de ce revirement brusque et soudain, n’en restait plus que les corps sans vie de l’homme que je respectais et aimais le plus au monde.
A partir de ce jour, j’ai décidé, non pas de quitter totalement la triade, mais de m’en éloigner afin d’orchestrer ma vengeance. En prenant mon père, c’était prendre le souvenir de ma mère. C’était prendre la seule chose que j’avais en moi, que l’on ne pouvait acheter, qui n’avait pas de prix. S’en prendre à sa vie ? Ce n’était nullement que titiller une corde sensible qu’il n’aurait certainement jamais fallu réveiller. Telle est la manière dont j’ai pu devenir terroriste aux yeux d’un pays, aux yeux d’un état… Aux yeux du monde ! 2 •• Quelles sont tes activités ?En tout premier lieu, je pense qu’il serait bon de souligner que j’ai fait et, en mon sens, fait toujours partie de la Triade chinoise. Contrairement à d’autres organisations criminelles pouvant demeurer semblable, une fois que l’on entre dans ce cercle on ne peut plus privé, l’on y signe un contrat à vie. Et au-delà de la portée que cela signifie, je vous avouerais que mon âme toute entière leur appartient… De mon propre chef ! Après tout, en ce qui me concerne, je ne leur ai jamais donné mon abandon ou ma démission, le sort a voulu que je m’en éloigne d’un point de vue géographique, purement et simplement. Et, si certains d’entre eux ne pourraient pas l’accepter ou, en tout cas, très difficilement, que ces derniers se consolent car il ne m’est jamais arrivé, ni même venu à l’esprit, de les trahir pour des intérêts personnels ou pour quoique ce soit d’autres. Est-ce que cela peut m’éviter de porter l’étiquette de la traitresse ? Malheureusement, connaissant leur fonctionnement, je n’y mettrais pas ma main au feu !
Du temps où j’officiais en leur sein, je peux dire que j’ai fait de tout ! Baigner dans des trafics de drogues, d’armes, de prostitutions ou d’êtres humains… Je n’en n’étais pas la meneuse mais j’ai eu le loisir de jouer plusieurs fois au porte-flingue et d’observer de quelle manière le tout s’opérait. Regarder et fermer sa gueule est la première chose qui vous permet d’apprendre la vie après tout ! Mais mes « affaires » les plus affectives n’en demeuraient pas moins les assassinats, les règlements de compte et, surtout, les petites entrevues avec certains « protégés » qui oubliaient le prix de leur protection proprement dites. Et, ce rôle d’action me convenait plus que celui de faire le piquet de surveillance. Autant avouer tout de suite que je sais être faite pour les rôles où l’on se bouge et que, en ce sens, je n’aurais certainement pas eu la patience nécessaire pour devenir l’un des comptables ou des juristes s’occupant des intérêts de la Triade.
Depuis mon départ, je dirais que les choses n’ont pas réellement changées ! Si ce n’est que j’ai décidé de déguiser mon envie de revanche et de vengeance sous un commerce relativement juteux : celui des assassinats. Oui, si mes talents peuvent être réputés, c’est bien en ce domaine. Quelle que soit la cible et quelle que soit la manière, rien ne m’arrête. Je me fais un point d’honneur à respecter tous les contrats qui me sont confiés, valeurs et traditions familiales obligent dirons-nous ! Néanmoins, je ne tue pas que pour l’argent. Je tue également par nécessité dans certains cas et, même, par plaisir lorsqu’il s’agit d’espions. Oui, je me suis recyclé dans l’assassinat d’espions en tout genre. A défaut de pouvoir mettre la main sur l’ultime traitre qui a fait partie du meurtre de mon père, je me venge sur ses compères mais, à une exception près : je ne touche jamais à un espion russe !
Ceci dit, les temps sont parfois durs, les contrats parfois moins nombreux. Et comme la réputation en ce bas monde est quelque chose sur laquelle il faut apprendre à veiller précieusement, je suis légalement une mercenaire, ni plus, ni moins. Autrement dit, si vous avez un service à me demander sans qu’il faille tuer quelqu’un, j’écouterai votre proposition. Mais ce n’est pas pour autant que j’accepterai votre offre, tenez-le pour dit !!! 3 •• Décris toi.• Revancharde • Caméléon • Professionnelle • Talentueuse • Séductrice • Joueuse • Manipulatrice • Déterminée • Intelligente • Cultivée • Volage • Loyale (uniquement envers la Triade) • Haineuse (uniquement envers les agences d'espionnages) • Arrogante • Susceptible • Bagarreuse • Irrévérencieuse (de nouveau à l'exception des membres de la Triade) • Redoutable • Mental d'acier • Secrètement romantique au plus profond d'elle-même • Renfermée sur elle-même, de crainte de se créer une quelconque attache avec quiconque • Mystérieuse • Arriviste • Sélective intéressée (ne choisit ses contrats que pour l'argent ou, en fonction de la cible) • Imprévisible • Casse-cou • Adore ressentir les montées d'adrénaline face à un danger pouvant lui nuire • Indomptable • Extravertie • Cynique • 4 •• Quelle est ta plus grande faiblesse ?Connaissez-vous ce vieil adage selon lequel lorsque nous n’avons rien, nous n’avons rien à perdre ? Eh bien, dans ce cas, je vous dirai que j’ai déjà perdu le seul trésor, la seule chose qui m’importait réellement : à savoir mes parents. Voilà pourquoi je me permets de considérer que mon esprit ne possède aucune faiblesse, aucune faille… A l’exception peut-être de ma détermination à coincer ce satané meurtrier que je n’ai pu encore coincer !
De là, on pourrait se dire qu’il ne demeure aucune faiblesse. Et pourtant, il en demeure deux dont on ne prend que réellement conscience lorsque l’on s’éveille à la logique et que l’on prend la peine de creuser un peu plus loin. La première, et non des moindres, est très certainement ma loyauté et mon honneur au sein de la Triade. Je ne serai jamais capable de trahir ce semblant de famille qui demeure et qui me reste et, ce, qu’elles qu’on soient les raisons. Ils m’ont accueillis en leur sein, ils m’on fait l’honneur d’un présent qu’aucun autre occidental ne pourrait certainement se féliciter d’avoir un jour. Et, surtout, ils m’ont permis d’accéder aux connaissons qui ont fait de moi celle que je suis devenue aujourd’hui. Je leur dois beaucoup, énormément même ! Et, en cela, je leur demeurerai toujours fidèle, qu’importent les contrats !
Mais la seconde faiblesse, certainement celle qui est la plus souvent mise à l’épreuve, est très certainement la capacité générale de mon corps à réaliser ou subir quelque chose. Mon esprit s’est durcit comme de la roche, comme du diamant. Mais mon corps ne demeure celui que d’une simple femme, avec ses avantages et ses inconvénients. Vous me direz que cela est un peu trop élémentaire comme réponse mais, pas totalement ! Pas totalement à partir du moment où vous faites tout pour dépasser votre simple condition d’être humain mais qu’un mauvais coup bien placé ou qu’une vilaine blessure vous rappelle que vous n’êtes nullement un surhomme. Et, bien malheureusement dans le cadre de ma « profession », il faudrait que ce soit le cas.
PRÉNOM: Lola ▻ AGE: 19 ans ▻ COMMENT NOUS AS-TU CONNU?: par Top Site ▻ DOUBLE COMPTE: On va dire pas encore, sait on jamais x) ▻ DISPONIBILITÉ: 7 jours sur 7. ▻ PERSONNAGE: Inventé. - Code:
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<span class="pris">AMBER HEARD</span> ▬ « [i]Tanya M-L. Belaïa[/i] »
Dernière édition par Tanya M-L. Belaïa le Ven 30 Nov - 14:01, édité 10 fois |
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