| | GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day | |
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Invité | Sujet: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 13:03 | |
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NOM: Lewis ▻ PRÉNOM: Gabriel Eugène ▻ AGE: 29 ans ▻ DATE DE NAISSANCE: 3 Janvier 1983 ▻ LIEU DE NAISSANCE: Londres ▻ ORIGINE: Classe aisée ▻ ÉTUDES: Diplômé en histoire de l'art et langues étrangères. ▻ MÉTIER: Rentier ▻ PRÉFÉRENCE: Hétérosexuel ▻ STATUT: Célibataire, à tendances coureur de jupons ▻ CÉLÉBRITÉ: Ben Barnes ▻ CRÉDIT: Tumblr ▻ GROUPE CHOISI: CIA 1 •• Comment s'est passé ton recrutement ?C'est une longue histoire qui remonte à mon court passage dans l'armée en tant que sniper, en Irak. J'avais alors à peine 20 ans. Dans le camp pullulaient des agents de la CIA, présents afin de nous transmettre les renseignements qu'ils récoltaient et les ordres venant des hautes sphères. Autant dire qu'ils n'étaient pas les bienvenus dans les tranchées des brutes que je supportais difficilement. Plus proche de ces agents que de mes compagnons, je pensais déjà, alors, que cette carrière était bien plus faite pour moi que l'armée. Tout comme mes amis et supérieurs. Quoi qu'un Anglais dans les rangs américains est toujours aussi bien vu qu'un cheveu dans la soupe et qu'ils désiraient avant tout que je quitte leur guerre. Je fus envoyé couvrir l'une des unités des services secrets durant quelques jours. Posté au sommet d'une colline, ventre à terre, j'attendis de longues heures que quelque chose ai lieu. Mais je fus débusqué, et fait otage. Une année s'écoula avant que le groupe terroriste ne statue sur mon inutilité. Je fus retrouvé mis en terre vivant par les agents de la CIA que j'escortais l'an passé, et qui ne m'avaient pas abandonné. De retour en Amérique avec une retraite bien méritée, je me présentais de moi-même au QG dès la semaine suivante afin d'intégrer les rangs de l'agence. 2 •• Tes domaines de compétencesArmes blanches ■■■□□ Arts martiaux □□□□□ Changement d'identité ■■■□□ Collecte d'information ■■■□□ Combat rapproché ■□□□□ Discrétion ■■■■□ Explosif ■□□□□ Improvisation ■■■□□ Infiltration ■■■□□ |
Interrogatoire musclé ■□□□□ Langues ■■■■□ Meurtres ■■■□□ Piratage ■■□□□ Résistance à la torture ■□□□□ Tir ■■■■■ Tir à distance ■■■■□ Travail d'équipe ■■□□□ Comportementalisme ■■■□□ | 3 •• Décris toi.Adroit ▬ Autonome ▬ Attachant ▬ Arrogant ▬ Borné ▬ Calculateur ▬ Capricieux ▬ Charmeur ▬ Cultivé ▬ Débrouillard ▬ Déterminé ▬ Diplomate ▬ Efficace ▬ Empathique ▬ Galant ▬ Généreux ▬ Impulsif ▬ Intuitif ▬ Menteur ▬ Méthodique ▬ Observateur ▬ Patient ▬ Perfectionniste ▬ Rancunier ▬ Sociable ▬ Solitaire ▬ Vulgaire
Achluophobe ▬ Claustrophobe ▬ Cynophobie ▬ Taphophobe 4 •• Quelle est ta plus grande faiblesse ?Malgré de nombreux efforts, je suis facilement attaché émotionnellement aux personnes que je rencontre, et qui deviennent d'excellents moyen de pression sur moi. La perte d'un agent ou d'une personne de ma connaissance demeure le meilleur moyen de me mettre dans un sale état pour un moment. Néanmoins, après récupération, l'on peut compter sur un radical et violent retour de flamme avec pour but principal la vengeance. PRÉNOM: Léa ▻ AGE: 18 ans ▻ COMMENT NOUS AS-TU CONNU?: en allant de partenaires en partenaires ▻ DOUBLE COMPTE: nope ▻ DISPONIBILITÉ: 4 jours sur 7. ▻ PERSONNAGE: Inventé. - Code:
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<span class="pris">BEN BARNES</span> ▬ « [i]Gabriel E. Lewis[/i] »
Dernière édition par Gabriel E. Lewis le Mar 18 Sep - 23:52, édité 9 fois |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 13:04 | |
| (c) tumblr
it's a hard time, a hard time for dreamers
Mon regard reste rivé sur le trou dans le mur, par lequel perce la lumière qui inonde ma prison de poussière ambrée. Une brique manquante à quelques mètres de hauteur. Trop haut pour que je puisse m’y hisser dans l’espoir d’y voir l’extérieur, ou pour demander de l’aide. Alors, je me contente des sons qu’elle laisse venir jusqu’à moi. C’est aujourd’hui le cinquante-et-unième marché qui a lieu dans la ville où je suis captif, à en deviner par l’agitation au dehors. J’ajoute alors une barre sur le mur où je compte en semaines la durée de mon enfermement. Jusqu’alors recroquevillé dans un angle de la pièce, dans l’ombre salvatrice, où le Soleil ne peut venir me brûler la peau, je me relève à l’aide d’un mur pour me positionner sous l’orifice. « Salim ? » je lance aussi discrètement que possible. « Salim ! » Je devine au sable s’envolant dans ma prison qu’il approche. Sa petite voix résonne bientôt, comme un murmure transporté à mes oreilles à l’aide du vent.
« غابرييل، لا يزال على قيد الحياة! كيف حالك؟ حسنا، اليوم لدي تفاحة مثلها. » « Gabriel, tu es toujours là ! Comment vas-tu ? Tiens, j’ai une pomme, aujourd’hui. »
Le garçon fait passer le fruit par l’ouverture jusqu’à le faire tomber dans la cave ; je l’attrape avant qu’il n’atteigne le sol avec un léger sourire et croque goulument dedans, laissant le jus glisser le long de mon menton.
«كانوا يريدون التخلص مني قريبا شكرا لك. أنا بخير، ولكن ... الأميركيين الآخرين لا تزال هناك؟ يجب علينا أن نقول لهم ان لم أذهب وقت طويل جدا. » « Merci. Je vais bien, mais... Les autres Américains sont encore là? Il faut leur dire que je ne pense pas aller bien encore longtemps. Ils veulent se débarrasser de moi, bientôt. » « أقول لهم. سوف ب ... » « Je leur dirai. Tiens b… »
Un nouveau nuage de poussière ; l’enfant est parti avec hâte avant que l’un des terroristes ne le trouve là. Ce garçon dont je me suis lié d’amitié quelques jours après mon arrivé est devenu mon seul contact avec l’extérieur, et avec les agents de la CIA postés dans le village voisin, attendant le bon moment pour me sortir de là. Je me raccroche à l’idée qu’ils ne m’ont pas abandonné. Je ne sais pas pourquoi, mais ils sont encore là. Il est pourtant trop tard pour Salim. Un coup de feu retentit, et j’entends d’ici la foule apeurée. La porte de ma cellule est enfoncée brutalement, ce qui me met automatiquement à genoux, les deux mains derrière le crâne. Son corps à la poitrine trouée est lancé devant moi, laissé sans dignité dans le sable, yeux et bouche ouverts, sa peau hâlée pâlie par un vent froid de mort que je sens me traverser de part en part, faire grimper la vague de désespoir depuis mes entrailles jusqu’à mes yeux rougis. Une fois les hommes partis, je me précipite sur le frêle cadavre de l’enfant. Fidèle ami dont la seule récompense sera de pourrir au Soleil.
J’ouvre difficilement les yeux, en toute sécurité, dans le calme de ma suite d’hôtel vénitienne. Le poing serré sur le satin de mes draps, trempés par une nuit de sueurs froides. Des cauchemars devenus habituels n’épargnent pas la moindre de mes nuits depuis dix ans. J’inspire profondément, paupières quasiment closes, afin de reprendre le contrôle des battements de mon cœur. J’écoute les bruissements des canaux sous les gondoles, je les imagine glisser doucement sur la surface de l’eau… Une main s’abat sur l’épaisse porte en bois, s’annonçant ;
« Servizio in camera, il signor. » « Room-service, monsieur. »
Sur le plateau que je récupère et dépose sur le lit, se trouve une petite enveloppe blanche. A l’intérieur, je découvre les visages des contacts dont ce jour sera leur dernier. Les hommes font partie de la délégation Syrienne venu récupérer des armes pour le compte du régime d’Assad ; l’opération visant à récupérer ces armes débute donc. Après avoir récupéré la valise dissimulée sous le lit, méthodiquement, j’assemble une à une les pièces de mon fusil de précision. Ces instants sont les seuls où mon esprit se vide entièrement, où il ne me semble plus connaitre ni pulsations cardiaques, ni les sentiments d’appréhension, de peur, de doutes qui pourraient m’envahir. Ces instants sont mécaniques, rythmés par des cliquetis des morceaux de l’arme s’emboitant et prenant peu à peu forme. Et alors je ne me sens pas plus humain que la machine entre mes mains. Je me poste à la fenêtre, soufflant à mon micro que je suis en place. Le petit bateau à moteur, sur lequel naviguent les cibles, passe sous ma fenêtre. Quelques secondes et une balle chacun sont suffisantes pour achever ma part de la mission.
Je suis de retour au pays le lendemain. Bien que les conflits entre les Anglais et les Américains puissent sembler si Antiques qu’ils devraient être totalement effacés, je ne me sens pas réellement chez moi dans cet Etat où j’ai pourtant toujours vécu. Né de père Anglais et de mère Française, nous y avons emménagé quelques années après ma naissance à Londres afin de rejoindre New-York, où l’entreprise faisant la richesse de la famille se trouve. Nous sommes dans l’immobilier, spéculations, investissements… Un univers dont je ne me suis jamais épris, mais dont j’ai toujours su jouir des bénéfices, souvent à l’excès. Je me rends au siège de la branche de la CIA de Manhattan, où m’attends l’un de ces déprimants et longs fauteuils noirs sur lequel je dois étendre mon corps et étaler ma vie. Je ne m’y installe plus à contrecœur depuis des années, ayant trouvé l’intérêt de parler de moi à au moins une personne de cette planète. De plus, la psychologue du centre n’est pas des plus désagréables ; vieille femme à la chevelure blonde, fine et aérienne, les traits retombant mollement sur une expression de profonde empathie. La mission s’est parfaitement déroulée, lui dis-je, sans omettre de parler du cauchemar qui avait mouvementé encore une fois ma nuit.
« Je sais ce que vous allez dire. Je me torture encore pour un évènement qui s’est déroulé il y a dix ans, et que ce n’était pas même de ma faute. Mais si, ça l’était. Et Salim a été le deuxième gosse à crever à cause de moi. D’abord Marie dans l’accident de bagnole, puis lui. N’allez pas me faire croire que je ne suis pas le fautif dans la mort de Marie ; j’avais bu, énormément, mais c’était quand même moi derrière le volant, et personne d’autre. C’est moi qui ai arraché une fillette à sa mère en jouant les cons. J’étais rien de plus qu’un jeune con. J’ai cru pouvoir changer, et me racheter, en m’enrôlant dans l’armée. Mais tout ce que j’ai réussi à faire, c’est faire tuer un autre gosse. ‘Venez pas me dire que c’est du passé, parce que je vous interdis de reléguer leurs morts à l’oubli. »
La femme ne dit rien durant une longue poignée de secondes, se contentant de m’observer dans le détail. Sans émettre le moindre son, son regard glissa sur sa tablette numérique où son stylet formait des mots. Parfois j’ai la vague impression de n’être qu’un nom sur une plage horaire dont la vie se résume sur une feuille. Je me redresse, passe une main dans mes cheveux, comme pour secouer mes pensées léthargiques. Après un coup d’œil sur l’horloge, j’attrape mon manteau et le fait glisser sur mes épaules. La vieille femme ouverte alors la bouche.
« Vous pouvez vous sentir coupable, agent Lewis, cela est parfaitement naturel. Vous avez en effet causé le décès de la petite Marie, néanmoins vous n’avez pas appuyé sur la détente qui a achevé Salim. Tout ceci est atroce, j’en conviens, et a provoqué un lourd traumatisme. Mais je pense que l’on ne mesure pas la valeur d’un homme à la manière dont il s’apitoie sur ses erreurs. Faites votre deuil, agent Lewis. Pardonnez-vous, car vous avez amplement payé votre dette vis-à-vis de leur mémoire. Passer à autre chose ne veut pas dire que vous devez les oublier, mais tirer un nouveau souffle de ces évènements qui les rendra bénéfiques à votre continuation. Il est temps de vous reprendre. »
J’acquiesce d’un rapide signe de tête, puis quitte le cabinet. Je quitte toute forme d’émotion le temps de quelques heures au stand d’entrainement au tir, dont je suis l’un des grands habitués. Souvent dans le besoin d’occulter les aléas de mes états d’âme, ou pour affiner encore plus la précision de ma ligne de mire, plus personne n’est surpris de me voir à cet endroit à des horaires originaux. J’y suis chez moi, plus que dans l’immensité indécente de mon appartement. Je rejoins celui-ci à la fin d’une longue journée. Les clés, le manteau, les chaussures, sont négligemment abandonnées dans l’entrée, sous l’un des nombreux tableaux exposés sur mes murs. La plus belle pièce demeure la vue panoramique sur New-York et Central Park, que l’on peut admirer à travers la large baie vitrée du séjour. Allongé dans le sofa, je laisse mon regard courir sur les peintures, les sculptures, les buildings, jusqu’à ce que mes paupières alourdies se ferment.
Je suis plongé dans l’obscurité étouffante d’une boîte scellée. Ma tête résonne encore sous le souvenir d’un violent coup qui lui fut assené. Mes bras, mes jambes, sont engourdies et brûlantes de nombreuses éraflures semblant se creuser un peu plus dans ma chair à chaque seconde. L’air est âpre, sec et chaud, empli de particules de sable et de poussière le rendant irrespirable. Je sens sous mes pieds un élément solide. Mes mains partent doucement à tâtons à la découverte de cet environnement si sombre. Une planche en bois limite l’espace de part et d’autre de mon corps immobile. En longeant ses parois, constatant à l’occasion qu’il s’agit de bois aux échardes que ces caresses incrustent dans ma peau, je rencontre la dernière latte juste face à moi, et comprends alors, pour mon plus grand désespoir, ma situation. A l’horizontale dans ce caisson de bois, je devine au-dessus de ma tête des kilos de terre s’infiltrant peu à peu par de nombreuses fissures. J’imagine cet immense désert au milieu duquel je suis perdu, enterré vivant. Devenu inutile à mes ravisseurs, et après que ceux-ci aient découvert que je communiquais avec les Américains, voilà qu’ils se sont finalement débarrassé de moi avec hâte. Je me vois sans mal mourir très bientôt, ici, asphyxié. Pourtant, en désespoir de cause, et afin d’évacuer la rage que mon impuissance m’inspire, je frappe de toutes mes forces contre la planche face à moi en hurlant à pleins poumons.
« HEY ! A L’AIDE ! PUTAIN, JE SUIS LA ! HEEEEY ! SORTEZ MOI DE LA ! »
Effrayé, paniqué, ces entraves en bois deviennent mes pires ennemies, l’Obscurité m’obsède, oppressante, omniprésente. Que mes paupières soient closes ou non, cela n’y change rien, l’Obscurité reste la même. C’est à en devenir fou. A n’en plus savoir si l’on est bien encore vivant, ou si l’on est qu’un corps mort ayant l’illusion de la vie. Je frappe à n’en plus sentir mes phalanges détruites, je hurle jusqu’à douter de m’entendre encore. Et puis, après ce qui me semble être de longues heures à essayer de refuser la mort, à quelques mètres au-dessus de moi, j’entends du mouvement. Des voix étouffées, de la terre remuée. Néanmoins, je ne me sens plus capable de bouger, de donner un signe de ma présence. Je me concentre sur la seule chose qui importe alors ; respirer. L’air se fait peu à peu plus rare que la poussière. J’aperçois, vaguement, quelques rayons lumineux. Et les voix, au loin, se rapprochent peu à peu.
« Lieutenant Lewis, vous m’entendez ? Lewis ? Répondez ! Putain sortez-moi ce gosse de là, vite ! Lewis ! Ecoutez ma voix, on arrive ! Tenez bon, me lâchez pas Lieutenant. »
Les yeux rivés sur l’horizon, rythmé par les gratte-ciels tâchés de carrés lumineux, une tasse de thé entre mes mains gelées par le souvenir de la panique, j’entends encore la voix des agents de la CIA qui m’extirpaient de terre, résonner inlassablement, tels les échos brisés contre les parois de mon crâne. Les fantômes répétant la même scène, murmurant dans un souffle ;
« Ca va aller, Gabe. Ca va aller… »
Dernière édition par Gabriel E. Lewis le Mer 19 Sep - 17:02, édité 10 fois |
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Inscrit le : 25/03/2012
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 13:22 | |
| Bienvenue CIA finalement alors ? =) Bon choix, ils ont besoin de monde ^^ Je te souhaite un bon courage pour ta fiche |
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Messages : 685
Inscrit le : 16/10/2011
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 13:24 | |
| Bienvenue ! |
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Inscrit le : 04/02/2011
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 14:07 | |
| Bienvenuuuuuuue OMG, CIA coureur de jupons, l'autre admin va pas tarder à te sauter dessus avec une Megan Fox, j'dis ça, j'dis rien |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 14:43 | |
| ELLA ► ABF Oui, CIA finalement, peut-être que le terroriste écolo sera pour un DC Merci merci ELENA ► STANAAAAAAAAAAAA T'sais que j'suis une grosse fana de Castle? Non, bien sûr, mais maintenant oui. Et elle est merveilleuse. Et je doute pas que toi aussi Bref, merci KACEY ► Hello agaiiiiin Han, si une Foxy me saute dessus, je dis pas non Mais tu peux aussi me sauter dessus, hein |
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Inscrit le : 25/03/2012
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 15:30 | |
| En plus tu t'appelles Léa, comme moi J'aime l'idée du terroriste écologiste, j'ai eu cette idée pour un autre forum |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 16:02 | |
| Oh vazy on forme une team Léa, c'est classe Roh, moi qui me croyais originale |
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More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 17:25 | |
| - Kacey L. Hawthorne a écrit:
- Bienvenuuuuuuue
OMG, CIA coureur de jupons, l'autre admin va pas tarder à te sauter dessus avec une Megan Fox, j'dis ça, j'dis rien tsss tu me fais une de ces réputations ... ... m'enfin si j'ai le droit de te sauter dessus Bienvenue parmi nous et la CIA quoi *-* |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 17:44 | |
| Oh oui, saute moi dessus et restes collée (Foxy c'est ma déesse en fait, je l'aiiiiiiiime d'un amour vraiiiiiiii ) |
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| Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 18:00 | |
| Ben comment on le voit pas trop souvent sur les forums Il est too seksy J'veux un lien _ Brèfle, bienv'nue à toi ^^ |
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Inscrit le : 26/02/2011
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 18:02 | |
| *regarde à gauche et à droite s'il n'y a personne et lui saute dessus* en plus Gabriel c'est mon prénom masculin préféré brefouille tu me réserveras un lien ^^ |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 18:20 | |
| JULIETTE ► Kewkew ma beauté C'est vrai que Ben est pas assez vu, mais ça m'arrange, comme ça on me fait la remarque à chaque fois que je le prends (c'est à dire tout le temps depuis 3 ans, oui, je suis folle (de lui )) et j'passe pour un héros Mais ton avatar est encore plus rare que Ben, en plus Brefeuh, merci à toi, et bien évidement qu'on se réserve un lien LIZA ► Azy, Gabriel c'est aussi mon prénom masculin préféré, on est faits pour s'aimer T'auras aussi droit à un lien d'la mort qui tue, t'inquiètes |
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Inscrit le : 04/02/2011
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 18:21 | |
| Mouahaha, futur couple ici, j'aime |
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Messages : 2139
Inscrit le : 22/02/2011
| Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 20:23 | |
| Han, Ben Barnes. *OOOO* Je pensais le prendre une fois, mais bizarrement, jamais fait. Bienvenue ! |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 20:48 | |
| Attend, pourquoi tous les beaux mecs...*agite le panneau du SIS dans tous les sens, désespérément* Mais anglais, la classe. Bienvenue parmi nous! \o/ |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Lun 17 Sep - 21:25 | |
| STAS ► UN MALE. UN MAAAAAAAAALE. Il faut prendre Ben, mon chou, pour que sa perfection envahisse le monde. MOUAHAHA Et merci RILEY ► Aaaaaaah désolé ma belle, j'serais allée dans le SIS si j'étais pas serviable, mais la CIA est en dèch' Merci |
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More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Mer 19 Sep - 16:58 | |
| J'aime beaucoup ta manière d'écrire L'idée d'être enterré vivant également ainsi que du gosse tué. On voit bien ce que ton personnage a vécu. Par contre, juste un détail, dire que le siège de l'ONU est une couverture de la CIA, ce n'est pas très crédible :$ M'enfin, ce n'est qu'un détail, je te valide bienvenue
Afin de faciliter ton intégration sur le forum, voici un petit guide en plusieurs étapes qui te permettra de ne rien rater. A titre d'information, sache que ton avatar t'es réservé automatiquement donc, ne t'inquiète pas pour ça.
1 • Veille à bien remplir tous les champs de ton profil. Cela permettra aux autres membres d'en savoir un peu plus sur toi en un seul coup d'oeil.
2 • Pense à créer (et compléter) le plus vite possible ta fiche de lien ainsi que ton listing des topics. N'hésite pas non plus à venir recenser ton métier et faire une demande de rang
3 • Informe toi bien sur le système de points mis en place sur ce forum. En effet, chaque rp te fait gagner de précieux points, ce serait bête de passer à côté. Sachez que ces points ne sont pas ajoutés automatiquement, vous devrez donc en faire la demande.
4 • Si tu es intéressé, pense à t'inscrire à l'intrigue numéro 4 du forum. A coup sûr, elle bousculera la vie de ton personnage et réveillera son âme d'aventurier. Etant donné que celle-ci se fait sous forme de mini rp, tu ne seras pas dépassé et tu pourras te détendre en y participant.
5 • Les parties hors jeux s'ouvrent bien évidemment à toi afin que tu puisses mieux t'intégrer. Ainsi, viens faire un tour sur le flood où tu seras envahi par la bonne humeur. Si tu sens que tu as du mal à t'intégrer, nous avons tout prévu, n'hésite pas à venir demander un parrain qui se fera un plaisir de s'occuper de toi. N'oublie pas non plus de voter de temps en temps pour le forum sur les top sites afin de l'aider à se faire connaître. Enfin, pense à passer sur le livre d'or histoire de dire ce que tu penses du forum, merci.
Quelques liens : faire intervenir un pnj • le plan du forum
Amuse toi bien parmi nous ! |
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Invité | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Mer 19 Sep - 17:04 | |
| Merci pour la validation (pour le détail de crédibilité, je mea culpate, j'avais mal compris les informations que j'avais trouvé à ce sujet, et j'ai édité ) J'ai hâte de Rper |
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Messages : 666
Inscrit le : 09/05/2012
More information Compétences: | Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day Mer 19 Sep - 17:05 | |
| Pas de soucis |
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| Sujet: Re: GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day | |
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| | | | GABRIEL ► no matter what you do, you gonna have to fight some day | |
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