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Et alors il s’est passé quelques choses, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi-même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté.

Les coups pleuvaient. De part et d’autre d’une gigantesque salle d’entraînement, les seuls sons que l’on pouvait distinguer se résumaient à des gémissements, voir des cris, de douleur ainsi que des ordres beuglaient en russe. Dans un coin un peu plus reculé, sur un ring presque délabré, un petit bonhomme d’une dizaine d’années faisait percuter sans relâche sa jambe droite contre un homme, bien plus grand et âgé que lui, tenant fermement entre ses mains une planche en bois d’environ cinq centimètre d’épaisseur. Du sang s’écoulaient des multiples coupures qui étaient présente sur cette même jambe. On pouvait lire sur son visage enfantin déformé par des grimaces, que cet exercice était tout, sauf agréable. Fin, élancé et déjà très musclé pour son jeune âge, aucun son ne sortait d’entre ses lèvres. Sa mâchoire était contractée, tout comme ses dents qui ne se desserraient pas malgré la difficulté de son entraînement. Au bout d’un quart d’heure, son entraîneur consentit à arrêter cette torture. Le blondinet prit place sur un tabouret en soupirant tout en disposant de chaque côté de son corps ses bras sur les cordes en cuir marron. Ses muscles enfin au repos, il reprenait sa respiration alors que son tortionnaire s’approchait pour asperger ses jambes meurtries d’eau froide. Après un sursaut dû à la différence de température, le regard clair du discipliné enfant se posa avec crainte sur cette masse de muscle qui lui faisait face…

VLADIMIR « Ne me dis pas que tu es déjà fatigué ?! Ce n’est pas comme ça que tu deviendras un homme Aleksei ! Regarde un peu ton frère. Pas une larme, pas un gémissement, il encaisse les coups et se tait. C’est ça, être un homme. »

Le regard sombre de ce père se tourna avec fierté vers son second fils âgé de 20 ans qui se battait comme un diable avec un adversaire plus grand, plus puissant et plus expérimenté. Avec une hargne et une détermination extrême, il tentait de repousser les attaques de son assaillant tout en plaçant des coups précis au niveau de son flan afin d’atteindre son foie et, ainsi, essayer de le faire plier sous la douleur. Mais la masse musculaire de ce dernier semblait pouvoir encaisser bien plus. Son petit frère l’observait, lui, avec haine. Une colère sans borne faisait briller de mille feux les prunelles bleu du petit garçon… Essuyant d’un geste rageur la larme qui s’apprêtait à couler, Aleksei se releva pour se remettre en position de combat. Son père accueillit cet élan d’enthousiasme d’un simple signe de tête et reprit son entraînement.

Voilà à quoi ressemblait l’enfance d’Aleksei. Issus d’une famille de ripoux, il ne manquait de rien matériellement parlant. Mais l’amour, la tendresse, l’attention, tous ces mots avaient, et ont encore sûrement, une signification pour vous, mais pas pour lui. Quasiment élevé par ses domestiques, les seuls rapports qu’il entretenait avec son père se résumaient à des entraînements quotidiens à partir de l’âge de 4 ans. Quant à sa mère, elle était trop occupée à voyager en prospectant pour l’entreprise familiale, écumant les galas de charité, les interviews et les rendez-vous d’affaire. En façade, sa famille possédaient une entreprise d’import-export ce qui leur permettait, à côté, d’être les numéros un sur le marché des armes et de la drogue. Ayant un accord tacite avec le Président lui-même, ils n’avaient jamais été inquiété par quoique ce soit. Son grand-frère travaillait déjà pour son père depuis ses 16 ans, il ne prêtait aucune attention à son jeune frère se contentant de l’ignorer. Vladimir vouait un véritable culte à son premier fils et rabaissait constamment le petit dernier en le comparant d’une manière ou d’une autre au premier !

Le blondinet suivait des cours par correspondance le matin, l’après-midi son programme c’était : 1h de kick-boxing, 1h de Kravmaga, 1h de boxe Thaïlandaise et pour finir la journée un professeur de langue lui donnait un cours de deux heures afin qu’il maîtrise au moins trois langues supplémentaires en plus de son russe natal. C’est donc, tout naturellement, qu’à l’âge de 14 ans Aleksei était l’un des plus jeunes combattants à avoir remporté successivement plusieurs médailles et prix après avoir gagné des tas de compétitions toutes disciplines confondues. Mais ça n’avait pas l’air de ravir complètement son père qui était toujours plus dur et plus exigeant avec lui.
A seize ans, le jeune russe savait parler couramment : le russe, l’anglais, le portugais, le français et le mandarin. Mais, là encore, ça ne semblait pas combler toutes les espérances de son géniteur ! C’est donc dans l’ignorance la plus totale, qu’Aleksei grandissait, se forgeant ainsi un caractère de pierre.

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Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition.

« Voici mon fusil. Il y en a bien d'autres comme lui, mais celui-ci c'est le mien. Mon fusil est mon meilleur ami. Il est ma vie. Je dois en être le maître comme je le suis de ma propre vie. Mon fusil, sans moi, ne sert à rien. Et sans lui, moi non plus je ne sers à rien. Je dois tirer droit, plus droit que l'ennemi qui cherche à me tuer. Il faut que je le tue avant que lui ne me tue. Et c'est ce que je ferai. Mon fusil et moi-même nous savons que ce qui compte dans cette guerre, ce ne sont pas les coups que nous tirons, ni le bruit de nos rafales ni la fumée que nous dégageons. Nous savons que ce qui compte ce sont les coups au but… LUI ET MOI, ON FERA MOUCHE… Mon fusil est humain, tout comme moi, puisqu'il est ma vie même. C'est pour ça que je veux apprendre à le connaître comme un frère. Je connaîtrai ses faiblesses, sa puissance, ses pièces, ses accessoires, son système de visée et son canon. Je le garderai toujours propre et prêt à servir comme moi-même je suis propre et prêt à servir. Nous ne ferons plus qu'un. C'EST COMME ÇA QU'ON FERA… Devant Dieu, j'affirme ce serment. Mon fusil et moi nous sommes là pour défendre mon pays. Nous sommes maîtres de l'ennemi. NOUS SOMMES LES GARANTS DE MON EXISTENCE. Ainsi soit-il jusqu'à ce que l'Amérique remporte la victoire, et qu'il n'y ait plus d'ennemi mais seulement la paix ! »

Une vingtaine d’homme hurlaient ce serment, leur main droite sur le cœur, le menton relevé, droit comme un I. Alors, que devant eux, un gradé les écoutait silencieusement en marchant. Tous regroupé à l’avant du porte-avion, en rang, au garde à vous, ils récitaient avec vigueur leur texte qu’ils connaissaient à présent par cœur. Au beau milieu de ce rang, trônait Aleksei. Sauf que, lui, ne pipait mot. Son supérieur s’approcha si près de lui, que le russe pouvait sentir sur son visage le souffle de l’adjudant-chef Smith !

ADJUDANT CHEF « On peut savoir pourquoi vous ne prêtez pas serment matricule 22 ?! »

ALEKSEI « Chef, si je puis me permettre, c’est un tissus de connerie chef !

ADJUDANT CHEF « Cette remarque me ferait le même effet si tu crachais directement sur chacune des étoiles de notre drapeau ! Maintenant, chantez soldat ! Ou je vous jure que vous ne verrez pas la lumière du jour avant un moment ! Suis-je clair soldat ?!

ALEKSEI « Désolée, chef, je ne chanterai pas chef !

Tout en essayant de garder son sang-froid, le supérieur désigna de la tête un autre gradé et lui souffla ses instructions à l’oreille avant de donner l’ordre au jeune soldat de le suivre. S’en suivit une série de corvée toutes plus dégradantes les unes que les autres. Ce n’est qu’une fois son dur labeur effectué, et ce sur les coups de 3h du matin, que le soldat russe eut le droit de s’arrêter pour finir sa rude journée au fin fond du mitard. Ses jambes fermement accrochées à une barre de fer, Aleksei s’entraînait dans le noir en faisant monter et descendre son buste de manière répété, sans relâche, avec cette étincelle de haine qui brillait toujours autant au fond de ses yeux…

Il était rentré à l’âge de 17 ans, grâce à une dérogation, dans le corps des marines devenant ainsi fusilier marin. Sa condition physique était irréprochable. Terminant toujours premier lors des évaluations quotidiennes auxquelles avaient droit tous les soldats. Rapidement, il s’était classé parmi les meilleurs tireurs d’élite de sa promotion. De nature solitaire, le jeune homme ne s’était fait aucun ami. Voilà le point noir de son dossier : aucune cohésion de groupe. Rechignant toujours à passer les examens psychologiques, il n’y échappait pourtant pas et réussissait toujours à berner chacun des psychologues qu’il avait eu en face de lui. Manipulateur, Aleksei arrivait facilement à avoir ce qu’il voulait. C’était d’ailleurs lui qui instaura les combats illégaux qui avaient lieu en général dans les sous bassement du bateau, entre les machinistes, les cuisiniers et les autres soldats. Première règle du Fight Club ? Ne pas parler du Fight Club. C’est ainsi qu’il passa deux années de sa vie sur un porte-avion, éloigné de tout, poussant les autres à s’entretuer dans des combats plus violents les uns que les autres pour finalement les dépasser par la suite et briller dans chacune des disciplines évaluées. Il adorait qu’on le déteste. Et c’était purement et simplement le cas. Son petit manège dura jusqu’à ce qu’un de ses collègues craque… Et le balance. Le russe fut alors convoqué et passa devant le tribunal de l’armée pour être jugé. Les chefs d’accusations ? Mise en place de combats illégaux, détention et revente de produits illicites et diverses infractions au code d’honneur. Bien évidemment, il fut radié et condamné à passer un an dans une prison fédérale…

A sa sortie, contrairement à ce qu’aurait fait beaucoup de détenu, Aleksei, lui, se procura une arme, puis il se mit en chasse. Il n’avait qu’une seule idée en tête : retrouver et éliminer l’enfoiré qui l’avait balancé. Un mois après sa sortie de prison, après avoir traqué sans relâche l’homme responsable de son emprisonnement, il le trouva. L’ancien taulard s’était positionné à environ 500 mètres du porte avion qui venait tout juste d’arriver. Une fois à quais, Aleksei, assis en hauteur dans une grue qui servait à déplacer les conteneurs, une cigarette aux lèvres, l’œil ancré au viseur, semblait calme, patient… Le débarquement de son ancienne unité débuta alors. Sur le quai, leur famille respective les attendaient et pour sa victime, c’était sa femme et sa fille en larme qui tentaient d’apercevoir où se trouvait l’être qu’elles n’avaient sûrement pas vu depuis des mois. Un coup d’œil suffit au meurtrier pour trouver et viser sa cible… Un coup de feu lointain retentit. Seul le corps sans vie du soldat s’écrasant mollement sur le sol fit réagir l’entourage présent. Les cris et les pleurs déchirant de ses proches se firent entendre rapidement mais c’est, sourire aux lèvres, que le jeune homme mit les voiles en laissant derrière lui l’objet de son forfait. Ne pas s’attacher au matériel. Plus rapide était la fuite, mieux c’était.

Et voilà ce qu’allait devenir sa vie. Un enchaînement de meurtres, et de fuites.

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On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis. On n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies.

Moscou. Sa terre natale. Ce n’était pas les bons souvenirs qu’il avait eu ici qui emplissait le cœur froid d’Aleksei d’une vague de nostalgie mais bien la vision qui s’étendait en face de lui. La capitale était une ville magnifique, sans nul doute, mais lorsqu’un manteau de neige venait enveloppée l’immense citée ça ne faisait qu’ajouter du charme à l’endroit. Résistant aux températures négatives habituelles hivernales du pays, le jeune homme s’avança jusqu’à l’entrée, protégée par des grilles en fer forgée, de la salle d’entraînement familiale. Ne vous y trompez pas, ce n’était pas une visite de courtoisie. Il avait rempli son contrat et venait simplement rendre compte à son patron. Autrement dit, son père. Traversant la salle, ses yeux fixant un point imaginaire pour éviter toutes sortes de souvenirs de remonter à la surface sans invitation de sa part ! Alors qu’il s’apprêtait à monter les escaliers menant directement au bureau de son père, c’est son frère qui en sortit. Il le toisa de son air hautain, souriant comme à son habitude de manière arrogante, observant celui qui était censé être son petit frère…

BORIS « Tiens, tiens, tiens, mais qui voilà. Le nomade de la famille qui se prend pour un dur en se cachant avec son fusil pour tirer dans le dos de ses ennemis ! Pas trop dur d’être une lopette petit gars ?! »

ALEKSEI « C’est toujours un plaisir de te voir, Boris. Maintenant le gros dur, va faire joujou avec ton punching-ball, là au moins, tu seras sûr qu’il ne risque pas de te battre. Bouges le gorille j’ai pas que ça à faire.

BORIS « Tu as tout juste 22 ans aujourd’hui il me semble. Il est temps… »

ALEKSEI « Temps pour quoi ? Si tu as organisé une fête surprise avec le gâteau, les cotillons et tout le bordel désolé de te décevoir mais ce n’est pas mon truc ! »

VLADIMIR « Tais-toi ! Tu es toujours aussi insolent. Tu es arrivé à un âge où je ne peux pas me permettre d’avoir deux fils, seul l’un d’entre vous sera digne de porter mon nom et pourra ainsi prétendre à reprendre l’affaire familiale quand le temps sera venu. »

Il avait beau être attentif aux paroles prononcées par son père, Aleksei ne comprit pas tout de suite de ce quoi il s’agissait… Mais il allait vite le savoir. Une mise à mort. Ou plutôt un combat dont la finalité serait la survie d’un seul d’entre eux. Barbare ? Horrible ? Et bien plus encore. Tous les membres du crime organisé s’étaient réunis autour du ring central. Seulement vêtu d’un short, les deux combattants se faisaient face sans bouger. Ils n’avaient pas de gants, pas de protections. Il n’y avait aucune règle, tout était autorisé. C’est ainsi que débuta le moment qu’avait tant attendu Aleksei… Il allait enfin pouvoir prendre sa revanche.
Après une bonne demi-heure, Boris semblait commencer à fatiguer. Aleksei s’était contenté d’esquiver tous les coups de son assaillant, bougeant rapidement, afin d’épuiser son adversaire et ça avait bel et bien marché. Son frère était plus fort, plus puissant, un seul coup de sa part et il pouvait prendre le dessus. Aleksei était plus fin, plus élancé, plus endurant et plus habile, déplacer son corps lui était donc plus facile. C’était le moment. Le bon moment. Boris relâcha l’espace d’un court instant sa garde. Il n’en fallut pas plus à Aleksei. Virevoltant dans les airs, il asséna un coup de pied directement dans la mâchoire du colosse qui s’effondra. C’est alors qu’il entendit les encouragements de son père… Ils ne lui étaient pas adressés. Encore une fois, alors que l’avantage était pour Aleksei, c’était son grand-frère qui avait les encouragements. Perdu entre incrédulité et surprise, son adversaire en profita tout en restant au sol, pour faire une prise au niveau de ses jambes et le faire tomber à terre pour finalement basculer au-dessus du jeune combattant. Ne cachant pas sa fierté, Boris asséna coup de poing sur coup de poing tandis qu’Aleksei tentait de se protéger à l’aide de ses avant-bras. Il n’en pouvait plus… La douleur était trop forte… Peu à peu sa vue se brouilla… Son sang éclaboussait depuis de longue minute le ring… Son grand-frère souleva une dernière fois son bras en serrant de toutes ses forces son poing pour lui donner l’ultime sentence. Un regain de force s’insinua dans les veines du survivant qui se dégagea de l’étreinte qui l’oppressait depuis déjà trop longtemps ! Boris se retrouva à plat ventre sur le sol, Aleksei tenait fermement l’une de ses jambes, son propre genoux appuyant sur son dos afin de le maintenir par terre. D’un geste rapide et sec, il lui brisa la jambe. Puis, à l’aide de ses mains meurtries, il attrapa la tête de son frère et lui fit rencontrer la dureté du ring à plusieurs reprises et, ce, jusqu’à ce que son visage soit immaculé de sang… Essoufflé. Aleksei releva une dernière fois la tête de Boris… Il traîna celui-ci jusqu’à son père. Une fois arrivé à ses pieds, Boris lâcha dans un dernier gémissement « papa »… Seul les os de ses vertèbres se brisant rompirent le silence quasi religieux qui régnait. Aleksei : 1. Boris : 0.

C’était il y a trois ans. Aujourd’hui, Aleksei travaillait à son compte. Pour une question de tradition et de respect, il rendait de temps en temps service à son géniteur en réduisant au silence ceux qui s’intéressaient de trop près aux affaires des Krarmia. Voilà qu’elles étaient les seuls rapports que le père et le fils entretenait. Après avoir tué son frère, s’arrachant ainsi des entraves qui l’empêchaient d’avancer, Aleksei s’était forgé une réputation qui le précédait où qu’il allait. Certains le surnommaient « l’ange de la mort ». Puisqu’à présent, il était tueur à gage. Mais, pas n’importe lequel. Si on voulait s’offrir ses services, il fallait y mettre le prix. S’épanouissant totalement grâce à cette activité très lucrative qui lui permettait également de beaucoup voyager, Aleksei était devenu un homme sans cœur, sans attaches, sans émotions. Un tueur fantomatique qui ne ratait jamais sa cible. Si vous avez un jour l’occasion de croiser son chemin, attendez-vous à ne plus jamais voir autre chose et habituez-vous au noir parce qu’il vous y plongera sans aucun problème de conscience… Son visage était inconnu des services gouvernementaux. De son physique, ils ne connaissaient que son dos ! Toutes autres informations sur le jeune homme avaient été mystérieusement effacées. Seul son prénom était connu des autorités. Pour le reste, rien. Hormis ses tatouages qui avaient été photographié par le tatoueur. Après cet impair, l’artiste avait soudainement disparu de la circulation. Recherché de par le monde, Aleksei se savait en sursis et s’amusait pourtant à brouiller les pistes pour rendre encore plus ingérable sa recherche. En tête de liste noire auprès de la CIA, de l’APO et même du SIS, qui réussira à attraper l’insaisissable russe ? Eh bien, qui vivra, verra…

Kacey ---> Merci Darling (a)
Presque ! Il me reste quelques trucs à rajouter dans le premier post^^

Ella ---> thanks =) Oui faut que je rectifie >< lol

Elijah ---> Merci beaucoup mister

Merci Zaria =)

Mdrr Merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Promis je vais faire attention cette fois-ci

... Tu m'avais manqué aussi tiens^^

Tu as bien compris ^^
Et merciiiiiii

T'es trop forte qu'est ce que tu veux ^^
Merci Ô grande déesse de Spy On You (t'y habitue pas trop non plus hein je suis en phase de jessaiedemefairepardonnerdetavoirabandonner... xD)

J'étais l'ancien Cameron Stavros x) L'amant inoubliable de Kacey... --->[] xD
Et merci^^

Thank's Bro'
(Moi je te pardonne !^^)